Cameroun – CADIF : L'Economie Numérique, un levier infrastructurel indispensable au développement et à l'intégration successive du digital 

L'implémentation du numérique demeure un pan très important du développement des infrastrucrtures en Afrique. Intégrer la sauvegarde des données, la sécurité ou encore l'Intelligence Artificielle demeure un gage de modernisme et d'ouverture au monde. Pour ainsi dire, le CADIF (Grand Salon du Numérique d’Afrique Centrale) qui se tiendra du 22 au 24 février 2023 à Yaoundé au lieu dit palais des Congrès va inopinément actionner cette mesure en mettant sur pied cette plus-value constructible et nécessaire au suivi psectoriel par le digital.

Couvrant la sous-région Afrique Centrale, cet évènement verra la participation de nombreux pays de la Sous-région notamment ceux de la CEMAC (Communauté Economique et Monétaire d'Afrique Centrale) tels que le gabons, la Centrafrique, le Tchad entre autres..  Ce Haut lieu de transfert de compétentences et de partage sera organisé sous le Très Haut Patronage du Chef de l’Etat S.E. Paul BIYA, Président de la République du Cameroun.


La thématique choisie est : « La contribution de l’économie numérique à l’émergence du Cameroun et de la sous-région Afrique Centrale ». Le CADIF a pour objectif général d'offrir une plateforme aux experts nationaux et internationaux de Haut niveau, aux investisseurs et aux porteurs de projets, à l'effet de mener la réflexion et formuler des propositions concrètes en vue de mieux capitaliser l'impact de l'économie numérique en général, et d'accélérer l'émergence du Cameroun et de la sous-région Afrique Centrale. 


« Il y’a eut en mai 2018, une conférence internationale qui a été organisée à Yaoundé sur l’économie numérique. Il est important aujourd’hui, le cabinet privé qui a beaucoup plus de souplesse, qui est beaucoup plus dynamique, qui est animé par un jeune, que ce cabinet puisse s’inscrire dans l’activité, pour une meilleure appropriation sociale des enjeux du numérique, dont on sait effectivement qu’il constitue aujourd’hui la seule issue possible, pour la production de la richesse et l’amélioration du bien-être des africains.


Certes l’enjeu est d’abord un enjeu régional, parce-qu’effectivement, les échanges que ce soient en terme d’exportation ou d’importation, que ce soit en terme de production dans l’économie culturelle, l’économie de la pensée, l’économie de la création, les échanges internationaux, sont beaucoup plus profitables que l’enfermement dans un univers. Le président du cabinet peut vous en dire plus.


Le salon apporte d’abord une meilleure mise en relation, des processus, des individus, des mécanismes, des lois et des règlements entre les différents acteurs concernés par le secteur du numérique que ce soient les acteurs insttutionels connus, étatiques, les acteurs privés, les jeunes, les associations etc…


Le cabinet, apporte donc une meilleure mise en relation des acteurs de ce salon. Deuxièment le cabinet apporte une meilleure prise de conscience par la souplesse de ses mécanismes de divulgation, de dispersion de l’information, par sa capacité à mobiliser des énergies, car vous savez aujourd’hui vis-à-vis des grands acteurs étatiques, il y’a des réticences dans tous les pays du monde. Les états sont mis à l’épreuve du soupçon donc le cabinet qui est donc exonéré de ces soupçons d’intérêts institutionnels, est beaucoup plus crédible en terme d’engagement social pour une meilleure prise de conscience du numérique et pour une meilleure mise en relation des acteurs de ce système. » Dira, Louis-Charles BOYOMO ASSALA, Président du Comité Scientifique lors de la conférence de presse du 13 février 2023 à l'Hôtel des députés à yaoundé.

Cette première édition qui va durer 03 jours permettra entre autres d'évaluer les avancées du Cameroun et de la Sous-région en matière de développement de l'économie numérique, d'identifier les obstacles au développemnt de l'économie numérique au Cameroun (sur le plan institutionnel, réglementaire, infrastructurel, et financier) ou encore d'identifier les leviers et les besoins dans ce domaine (sur le plan institutionnel, réglementaire, infrastructurel et financier).  


« Nous avons initié l’organisation d’un salon-exposition hightech et c’est quoi ce salon-exposition hightech ? C’est que nous avons pensé mettre une plateforme sur laquelle, nous mettrons en relation les porteurs de projets, les start-ups avec les investisseurs et les financeurs que nous avons bien évidemment conviés à cette rencontre.


Nous avons à l’heure actuelle des confirmations des investisseurs chinois, des investisseurs américains et des investisseurs canadiens qui seront là dans le but de venir nouer les échanges avec la jeunesse camerounaise, avec la jeunesse de la Sous-région, qui effectivement sont très engagés dans le domaine du numérique. Donc ça rejoint effectivement le message du Président de la République lorsqu’il invitait les jeunes à se mobiliser dans la créativité, dans le domaine du numérique. »  A notamment indiqué Jean Calvin MENGOUMOU AYISSI.


Odile Pahai

Derniers commentaires

06.12 | 17:52

Initiative à encourager. Merci et bravo aux promoteurs du mouvement 👏👏

03.12 | 09:31

Buenas tardes, encantado de saludarte. Soy Jose
Quería escribirte porque me ha parecido interesante comentar contigo la posibilidad de que tu negocio aparezca cada mes en periódicos digitales como not

30.11 | 11:53

Bonjour Mme et toutes mes félicitations,
Je suis à Douala, je suis à la recherche de votre tisane. Avez-vous une représentation à Douala. Sinon comment faire pour avoir régulièrement votre produit.

28.11 | 21:45

Vive la folie de la littérature

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