Cameroun – Salon du Numérique d’Afrique Centrale : Pour Jean Calvin MENGOUMOU AYISSI "l’économie numérique fait partie intégrante des données qu’il faut prendre en considération dans les plans de développement’’

Pour une traçabilité et une rentabilité inhérente dans l’usage du digital, l’économie numérique demeure la plaque tournante du développement des infrastructures et même des données en perspectives de hiérarchisation dans le cadre des mesures administratives ou sociétales. Dans cette initiative de valorisation et d’applicabilité, cette entité indispensable sera mise en exergue lors du CADIF (Grand Salon du Numérique d’Afrique Centrale) qui se tiendra du 22 au 24 février 2023 à Yaoundé au lieu dit palais des Congrès.

D’envergure internationale, cette rencontre du donné et du recevoir verra la participation de nombreux pays de la Sous-région Afrique Centrale notamment ceux de la CEMAC (Communauté Economique et Monétaire d'Afrique Centrale).  Ce Haut lieu de transfert de compétentences et de partage sera organisé sous le Très Haut Patronage du Chef de l’Etat S.E. Paul BIYA, Président de la République du Cameroun.


Une thématique bien déterminée a été choisie pour ce grand évènement axé sur la digitalisation. Elle s’intitule « La contribution de l’économie numérique à l’émergence du Cameroun et de la sous-région Afrique Centrale ». A cet effet, les nombreux exposants provenant des pays de la sous-région (Congo Brazzaville, Gabon, Tchad, Guinée Equatoriale, Guinée Equatoriale et Cameroun) vont tour à tour présenter leurs innovations dans cette frange du numérique et ainsi mettre un accent particulier sur l’ingénierie conceptuelle en Afrique centrale. Cette plateforme sera également le lieu d’échanges et d’opportunités pour les jeunes ingénieurs et inventeurs de présenter leurs créations et de nouer des partenariats succincts avec les pouvoirs publics.


« Le cabinet que je promeus, qui est l’organisateur de ce grand salon n’est pas à sa première initiative. Il y’a trois ans de celà, nous avons initié les cérémonies marquant les 20 ans de téléphonie mobile au Cameroun qui se sont effectivement déroulées en 2021, parce-qu’il y’a eu le Covid, il y’a eu beaucoup de reports.


Nous en sommes à la deuxième édition et nous avons pour mission de dynamiser le secteur des TIC au Cameroun. En ce qui concerne cet évènement qui est le ‘’Premier Grand Salon du Numérique d’Afrique Centrale’’, dénommé le CADIF, Central Africa Digital Fair, l’idée part de ce que nous avons constaté que les pays de la Sous-région s’étaient définis, les caps pour l’émergence et lorsque ces caps étaient définis, nous nous sommes rendus compte que la donnée liée à l’économie numérique n’était pas encore prise en compte, et était encore à l’état larvaire. Ce qui fait que de nos jours, l’économie numérique s’est imposée pratiquement dans notre société, à tel point que rien ne se fait plus où alors ne se fera plus sans passer par le numérique.


Nous nous sommes dits, allons-nous encore atteindre l’émergence comme pour le cas du cameroun en 2035, avec cette nouvelle donnée qui est très très importante, qui est l’économie numérique ? Qui contribue beaucoup dans le PIB du Cameroun, et donc, nous nous sommes dits qu’il fallait mesurer, il fallait évaluer la plus-value de l’économie numérique pour atteindre donc cette émergence là. Ceci parce-que les programmes de développement de nos différents pays sont faits sur les modèles classiques, or la nouvelle donne mondiale nous amène vers le monde du cyber-espace qui intègre l’économie numérique. Il y’a beaucoup de choses maintenant qui se passent dans l’espace cybernétique.


Et donc, nous nous sommes dits qu’aujourd’hui donc que l’économie numérique fait partie intégrante des données qu’il fauit prendre en considération dans les plans de développement, a quel hauteur donc elle pourra contribuer à ce que nous atteingnons l’émergence ? C’est donc cette problématique que nous avons posée sur la table. Nous avons monté un dossier, nous avons adressé à la plus haute personnalité du pays, en lui montrant le bien fondé et nous avons une fois de plus eu cet honneur d’avoir le très haut accord du Président de la République. Ainsi le Président de la République a donc donné son accord pour que l’évènement que nous préparons ait lieu. » A cité Jean Calvin MENGOUMOU AYISSI, Promoteur du Cabinet « Consulting Opportunities in Africa ».

Dans le cadre de cette rencontre, le promoteur du CADIF s’est préalablement penché sur les problèmes liés à l’économie numérique en Afrique. A cet effet, le cabinet s’est parallèlement axé sur l'aspect de la zone CEMAC car, il a estimé (selon certaines de leurs études) que tous ces pays ont pratiquement tous les mêmes problèmes liés au digital et à son intégration. D'où leur participation à ce Grand Salon.


« Le bien fondé de cet évènement est que nous allons à la fin de cette conférence que nous voulons organiser en marge de ce salon, avoir des résolutions, avoir un document qui sera la résultante de la consultation de beaucoup d’experts, qui vont être comme une boussole pour les prises de décisions dans le domaine de l’économie numérique.


Nous voulons que les résolutions soient les plus pragmatiques possibles pour qu’on ressorte la plus-value que l’économie numérique aura dans les années à venir, pour atteindre l’émergence et soient véritablement ressorties et que véritablement les décideurs les prennent en compte, celles que nous pourront avoir lors de cette conférence. » A continué Jean Calvin MENGOUMOU AYISSI.


Odile Pahai

Derniers commentaires

06.12 | 17:52

Initiative à encourager. Merci et bravo aux promoteurs du mouvement 👏👏

03.12 | 09:31

Buenas tardes, encantado de saludarte. Soy Jose
Quería escribirte porque me ha parecido interesante comentar contigo la posibilidad de que tu negocio aparezca cada mes en periódicos digitales como not

30.11 | 11:53

Bonjour Mme et toutes mes félicitations,
Je suis à Douala, je suis à la recherche de votre tisane. Avez-vous une représentation à Douala. Sinon comment faire pour avoir régulièrement votre produit.

28.11 | 21:45

Vive la folie de la littérature

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