International/Cinéma : "LA DER DES DER", succcès mondial, continue de retenir l'attention de par son originalité

Lorsqu'on évoque le septième art on se retranche sans entraves dans le volet cinéma et tout ce que ça comporte. Oui "les frères lumières" en ont fait un gage de reflexion, de découvertes, d'lluminations et même de magie. Visant l'esprit et le ressenti,le septième art de par ses différents canaux a toujours su arpenter les inombrables émotions que revêtent les films (courts, moyens, longs métrages...). C'est sans conteste le cas du court métrage "LA DER DES DER" de Patrice Guillain.


Réalisé et écrit en 2019, LA DER DES DER (court métrage de 8'18) de Patrice Guillain (Produit par AVEN STUDIO et TKOF FILM) met en scène une histoire d'un individu nommé Rosenberg qui lors de la première guerre mondiale (1914-1918) réussi à échapper à une embuscade et rencontre un rescapé comme lui et sous le coup des échanges il lui propose de se revoir après la fin de la guerre en France dans son atelier de couture si tous le deux survivent bien entendu.


Toutefois avant de se séparer, le nommé Rosenberg demande à savoir quel est le nom de ce rescapé avec qui le destin vient subitement de le lier et ce dernier se retourne et lui répond sans ambages "Adolpe".


De son âge avancé, il compte le récit à Samira en lui avouant que s'il avait pu en finir avec lui à cet instant précis, peut-être qu'il aurait sauvé 55 millions de personnes dans le monde. Nous vous invitons à visionner la suite pour plus d'émotions.

Ce court métrage assez significatif retrace sans conteste l'histoire simpliste d'un rescapé de guerre qui a eu la chance voire le déplaisir de rencontrer ce personnage historique qu'à été Adolphe qui aura laissé des traces indélébiles dans le processus évolutif humain (Tueries, SHOA, massacre des juifs par des pratiques sauvages...) et même une triste réalité humanitaire. Avancant dans une trame quelque peu linéaire, ce film aux allures d'aparâts singuliers revêtus d'histoire et de symbolique met en filigrane les contours et même les pourtours du destin qui parfois se joue de ce concept lié à l'existentialisme. Le regret y est exprimé, l'inaction et même l'ignorance qui à la fin de l'histoire éveille à la réflexion chez le cinéphile.


D'un accord parfait avec les personnage, ce court métrage a par la suite reçu 105 prix internationaux, 261 sélections dans les festivals de 73 pays dans le monde et continue d'être diffusé dans de nombreux festivals et forums internationaux encore en 2024.


Descriptif de Patrice Guillain par lui-même


Après une brève immers